Magali ne connaissait pas le ripio.
Ainsi est appelé le revêtement des routes sans enrobé en Amérique du Sud.
Elle a fait connaissance de toutes les facettes de ces voies en gravier.
Parfois facile, parfois exténuant, jamais anodin, le ripio vous envoûte, vous broie, vous éreinte puis finalement vous charme en vous obligeant à repousser vos capacités d'endurance.
" le ripio c'est mon chemin de St Jacques de Compostelle....
J'en ai bavé, j'ai pris des bains de poussière, j'ai pleuré, j'ai ri aussi, j'ai traité Patrick de tous les noms d'oiseaux 😛, j'ai imploré Ceferino, el gauchito Gil, mais j'ai baigné dans une nature exceptionnelle et je suis allée au bout de moi même😅, j'en suis fière."
Magali, Décembre 2018.
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| Montée au paso Icalma. Le ripio est de bonne qualité.... |
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| Mais la forte pente nécessite de pousser les machines sur de longues distances..... |
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| Le ripio, c'est la philosophie de la patience et de l'endurance... |
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| Garder une extrême vigilance.... |
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| Savoir profiter de tous les instants, sans quitter la route des yeux.... |
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| Les abribus sont bien agréables pour les haltes. |
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| Le Lanín se rapproche..... enfin !!! |
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| La montée au paso Tromen est des plus éprouvante.... |
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| Mettre pied à terre est souvent la meilleure solution.... |
Bravo !
RépondreSupprimerMerci 😀
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